HERNANDEZ ORELLANA Myriam (Thèse soutenue le 27/03/2017)

Docteure en sciences de l’information et de la communication

Publié le 28 février 2010 Mis à jour le 22 février 2021

Docteure en Sciences de l’Information et de la Communication, Enseignante contractuelle à l’Université de Lille, Céditec (membre associée) et Gériico (membre associée).

Myriam-Hernandez

Responsabilité pédagogique et mention/parcours des enseignements

Responsable pédagogique de la L3 Information-Communication parcours Communication, département Infocom, Université de Lille.

Thèmes de recherche

  • La communication publique de prévention ;
  • L’émergence et la politisation du problème public des violences faites aux femmes dans l'espace public ;
  • Les évolutions des dispositifs et des pratiques info-communicationnels mis en œuvre par l’Etat ;
  • L’ empowerment des usager.e.s de dispositifs info-communicationnels ;
  • L’évolution et la professionnalisation du métier de communicant ;
  • Le discours d’influence en matière de santé sur les réseaux sociaux.

Mots clés : communication publique et politique, gouvernementalité, empowerment, violences de genre, problème public ; influence en ligne.

Présentation synthétique des recherches

Articulé autour des notions de gouvernementalité, politique publique, genre et empowerment, son travail a pour objet le discours institutionnel dans le cadre de la construction d’un problème public, de sa publicisation et médiatisation et de la mise en œuvre des politiques publiques. Elle étudie les discours des acteurs qui y participent : acteurs gouvernementaux, associatifs et organismes supranationaux (tels que l’ONU, le Conseil de l’Europe). Ses recherches actuelles portent sur l’évolution des dispositifs et des pratiques info-communicationnelles mis en œuvre par la communication publique (santé et violences faites aux femmes) sur les réseaux sociaux, y compris l’utilisation des influenceurs et influenceuses.

Quelques publications

  • ACL : « L’importance de la “conscience de genre” pour la prévention des violences contre les femmes : les campagnes de communication publique au Chili et en France », Autrepart, 2018, vol 1, n°85, pp. 149-164.
  • ACL : « Les limites des recommandations de l’ONU sur la politique publique nationale de prévention : les représentations des femmes victimes de violences conjugales dans la communication publique française », Les Enjeux de l’Information et de la Communication, supplément A « Information et communication publiques ET espaces publics sociétaux : interactions et tensions », coordonné par Sylvie Bosnier, Jean-Philippe De Oliveira, Isabelle Pailliart et Chloë Salles, octobre 2018, n°19, pp. 27-39.
  • ACL : « Le genre comme catégorie d’analyse dans les SIC : un dialogue entre l’Amérique latine et la France est-il possible ? », Revue française des sciences de l’information et de la communication [En ligne], 13 | 2018.
  • CO : « Le lissage de la formule fémicide par le discours institutionnel : le cas de la loi sur le fémicide au Chili », in Lydie Bodiou et al. On tue une femme. Le féminicide. Histoire et actualités. Editions Hermann, 2019, pp. 149-165.

Collaborations scientifiques

Membre du Comité d’organisation de la journée d’étude « Influenceurs et influenceuses santé ? Les voix du corps sur les réseaux sociaux » avec Nataly Botero et Paola Sedda (Maitresses de Conférences à l’Université de Bourgogne, laboratoire Cimeos), qui se réalisera le 09/11/2020, à la MSH, Université de Bourgogne, Dijon.